A la rencontre de Mme Francine Christophe

Mardi 20 novembre, tous les élèves de 3e du collège se sont rendus à Saint-Avé pour rencontrer Mme Francine Christophe, déportée alors qu’elle est enfant au camp de Bergen-Belsen. Ils ont ensuite fait route pour le musée de la Résistance de Saint-Marcel. Mme Kerdraon, professeur d’histoire-géographie

Les élèves de 3e visitent le musée de la résistance

Nous avons vraiment aimé la sortie de mardi. Nous avons pu voir Francine Christophe qui a été déportée lors de son enfance. Quand elle nous a raconté son histoire, nous avons été très émus. Nous ne pensions pas qu’il y avait autant de violence dans les camps de concentration. Le reste de la conférence nous a appris des choses qui peuvent nous servir pour le concours. Ensuite nous avons pris notre pique-nique dans une salle au chaud.

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Puis nous sommes allés à Saint Marcel pour visiter le musée de la Résistance bretonne. Nous avons visité diverses salles qui nous permettaient de remplir un livret. Nous y avons appris beaucoup de choses comme le fait que les travailleurs français avaient le droit, en Allemagne, qu’à 2kg de pain par semaine !! Nous avons trouvé la visite du musé très intéressante. Le retour a été un peu long. Aytami et Clément

Développement construit Le guerre 14-18 débute le 28 juin 1914 car c’est là que se passe un événement qui va tout changer : L’attentat de Sarajevo, il s’ensuit de terribles batailles, elles font partie de différentes phases.

La guerre débute par une guerre de mouvement et se poursuit par la guerre de position, aussi appelée « guerre des tranchées ». C’est la plus terrible, violente et sanglante phase de la guerre.Pourquoi les combats de la guerre de position sont ils aussi violents ?

La vie quotidienne des soldats est horrible. Ils doivent préparer leurs tranchées (qui plus tard leur sauvent la vie ou pas !!) avec du bois, de la pierre, … Il y aussi la toilette qu’ils ne peuvent faire que très rarement, donc les poux surviennent par le manque d’hygiène ; sans parler de la marche à pied avec les sacs pensant environ 30Kg. Les poilus voulaient parfois donner de leurs nouvelles et ils le peuvent grâce à des lettres. Parfois ces lettres sont très touchantes, elles peuvent apporter des précisions sur la violence des combats, sur le manque de la famille et sur leur quotidien.

Deuxièmement, les combats de la guerre de position ont été particulièrement violents et sanglants.Les combats de la guerre de position commencent par des tirs de mitrailleuses, ensuite les gaz « moutarde » (ypérite) sont jetés. L’assaut est ordonné par le supérieur pour attaquer le camp ennemi ceux qui n’allaient pas sont directement fusillés. Les armes utilisées sont le fusil, la baïonnette (une longue lame au bout du fusil) très utile pour le corps à corps.

Après intervient le char en 1917, il permet de passer le « No man’s land » et les barbelés tout en résistant aux tirs ennemis.

L’artillerie lourde fait son apparition comme les obus, les canons sachant qu’un seul obus peut faire un cratère de 12 mètres. Les soldats et les chevaux doivent se protéger du gaz et ils peuvent le faire seulement grâce aux masques à gaz.

Les combats sont très violents car les armes sont déjà très sophistiqués et le nombre d’homme qui sont morts dans chacune de ces terribles batailles par exemple : la bataille de la Somme a fait 20.000 soldats anglais morts dès le 1er jour. La 1re guerre mondiale a causé la mort de plus de 10 millions de personnes.

Yaël

Ce 11 novembre 2018 sera le centenaire de l’armistice, et cette date doit rester gravée pour que jamais une guerre si violente ne se reproduise.